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Chroniques matinales

Chroniques matinales

Par deux points de vue passent une ...droite. Par un point de vue passe une gauche ou le contraire. Des chroniques et photographies publiées dans les journaux: "LE MONDE", "Le MONDE MAGAZINE" "LE MONDE TÉLÉVISION""LE NOUVEL OBSERVATEUR", "Le nouvel obs .fr","Les INROCK...", "LA TRIBUNE DE GENÈVE", "POLITIS",Action communiste .les informations dieppoises le réveil L'anticapitaliste, "La FRANCE "AGRICOLE",La Manche libre.fr "le Plus"."La VIGNE", "SINE mensuel "La Manche libre.fr" accréditation festival Albi, fête de l'Humanité. festival off Avignon. (plus de 1000 chroniques publiées) chroniques et flash info à Radio FMR Jusqu'à 2500 visites par jour....! événements ,photographies Igor Deperraz Normalien . études de cinéma à Paris-Sorbonne. jury Petits Molière Téléphone 0785473094

Publié le par igor deperraz

Quand ferons-nous « taire » les Universitaires qui déblatèrent sur l’Ecole ?

Il n’y a qu’en France où le débat scolaire s’engage avec une telle virulence dans les propos et une passion sans commune mesure avec le monde réel. La moindre étude sur les performances de lecture où de calcul engage quelques universitaires dans des propos enflammés largement relayés dans la presse et les médias. Il faut que les professeurs se posent des questions, reconstruisent leur pédagogie. L’éternel « niveau baisse » fait toujours recette pour les universitaires. Livres, conférences, manuels scolaires servent de tiroir caisse à ce corpus de bonnes idées. Ils ont la solution clef en main.

 La hiérarchie conseille et appuie fortement telle ou telle démarche, distribuant quelques primes à des projets menés par quelques ténors des sciences de l’éducation. Ce qui hier était synonyme de bonne méthode devient le lendemain le territoire des horlas . Il n’y a malheureusement aucune recette miracle, ni méthode pour enseigner. Enseigner comme disait Jaurès, c’est transmettre ce que l’on est. C’est donc dans l’être que l’on doit puiser sa capacité à transmettre des connaissances. Un professeur qui aime lire fera partager son goût pour la lecture et l’écriture.

 Le recrutement des nouveaux instituteurs privilégiant les BAC plus cinq scientifiques amène inévitablement à une plus grande distance vis-à-vis de l’écrit et de la lecture. Ces nouveaux cadres emportent parfois chez eux leurs cahiers pour travailler tard le soir en contradiction avec les textes réglementaires qui demandent à ce que le travail soit corrigé immédiatement après leur exécution. La fermeture des Ecoles Normales a sonné le glas à ces étudiants issus du monde paysans, ouvriers, cadres moyen. Les Professeurs doivent-ils  être rentables ,performants ? Le copier coller sur internet fait très pro mais est-il véritablement en adéquation avec l’âge de leur public ?

 Les mauvais résultats des élèves français tiennent en partie à cette « cadrisation » du métier d’instituteur. Un éloignement sociologique du public, des attentes hors de portées et une notation qui trop souvent sert de marqueur de la pauvreté. Il sera peut être temps que l’on s’interroge sur l’efficacité de recruter à Bac plus cinq pour enseigner à des enfants de moins de 12 ans. La simplicité et le plaisir de venir à l’école permettrait d’améliorer les compétences des élèves sans bourse déliées et surtout sans nourrir cette cohorte de bien pensant qui monopolise la Parole dans les médias et dans les catalogues des éditeurs.

 

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Publié le par igor deperraz

Gare aux loups

Il y a comme une gène au guichet de la gare lorsque l’agent annonce à cette famille rouennaise le prix de leur petite visite au musée du Louvre dans la capitale. Cent soixante huit euros pour effectuer dans un train au confort trop souvent rudimentaire et aux horaires variables une petite sortie familiale. Au guichet on s’impatiente et on regarde sa montre, visiblement le père de famille reste stupéfait. En quelques minutes, il va devoir annoncer à ces enfants de plus de douze ans, considérer comme des adultes par la SNCF qu’il faut abandonner l’idée de voir l’exposition sur l’Islam. Deux enfants ne donnent pas le droit à la carte de famille nombreuse et acheter une carte de réduction pour une journée par an coûte 70 euros. A 80 centimes d’euros le kilomètre, la marche à pied, le vélo sont aujourd hui la seule alternative qu’offre la société nationale du chemin de fer aux familles modestes ! Allez à Venise à quatre leur aurait couté le même prix sur une compagnie à bas coût. On comprend que la SNCF ait décidé de se lancer dans le low cost . Mais ce régime ne va s’appliquer qu’aux destinations TGV. il ne concernera toujours pas les petites lignes régionale. Pire, l’expérience sur Paris Toulouse ! De la troisième classe où l’on propose des couchettes en plein jour et des wagons des années 60 pour passer 6 heures sur un fauteuil de dentiste ! La SNCF fait payer la vitesse, apprécié par quelques cadres, au prix fort aux classes moyennes ! A qui aura profité la grande vitesse sur les TGV ? Le slow train aurait largement contenté la population. C’est donc de la responsabilité de l’Etat de remettre les pendules à l’heure dans les gares françaises pour exiger un prix raisonnable sur les lignes de province.

Igor deperraz

Gare aux loups

Il y a comme une gène au guichet de la gare lorsque l’agent annonce à cette famille rouennaise le prix de leur petite visite au musée du Louvre dans la capitale. Cent soixante huit euros pour effectuer dans un train au confort trop souvent rudimentaire et aux horaires variables une petite sortie familiale. Au guichet on s’impatiente et on regarde sa montre, visiblement le père de famille reste stupéfait. En quelques minutes, il va devoir annoncer à ces enfants de plus de douze ans, considérer comme des adultes par la SNCF qu’il faut abandonner l’idée de voir l’exposition sur l’Islam. Deux enfants ne donnent pas le droit à la carte de famille nombreuse et acheter une carte de réduction pour une journée par an coûte 70 euros. A 80 centimes d’euros le kilomètre, la marche à pied, le vélo sont aujourd hui la seule alternative qu’offre la société nationale du chemin de fer aux familles modestes ! Allez à Venise à quatre leur aurait couté le même prix sur une compagnie à bas coût. On comprend que la SNCF ait décidé de se lancer dans le low cost . Mais ce régime ne va s’appliquer qu’aux destinations TGV. il ne concernera toujours pas les petites lignes régionale. Pire, l’expérience sur Paris Toulouse ! De la troisième classe où l’on propose des couchettes en plein jour et des wagons des années 60 pour passer 6 heures sur un fauteuil de dentiste ! La SNCF fait payer la vitesse, apprécié par quelques cadres, au prix fort aux classes moyennes ! A qui aura profité la grande vitesse sur les TGV ? Le slow train aurait largement contenté la population. C’est donc de la responsabilité de l’Etat de remettre les pendules à l’heure dans les gares françaises pour exiger un prix raisonnable sur les lignes de province.

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Publié le par igor deperraz

Pater mater sont dans un bateau

 

Un des effets inattendus du « Mariage pour tous » est la multitude de revendications linguistiques qu’il suscite. Le mariage, ce mot dérivé du latin matrimonia (femmes mariées) devrait pouvoir se traduire dans la langue française par Patriage (pater en latin) lorsque deux hommes se marient.

Mais cette revendication égalitaire ne s’arrête pas là, elle entend gagner du terrain sur l’ensemble des concepts juridiques issus du droit ecclésiastique de l’ancien régime. C’est ainsi que nombre de pères revendiquent aujourd’hui un droit équitable concernant la garde de leur enfant et qu’ils souhaiteraient se faire entendre par les anciens juges aux affaires matrimoniales sans avoir à grimper sur des grues. Si le terme a évolué en Juge aux affaires familiales depuis 1993, l’esprit et le fonctionnement de ce juge unique n’a pas totalement évolué en parallèle avec le Droit européen qui introduit l’égalité des sexes dans les droits nationaux .Un juge de l’égalité des sexes serait une réelle avancée pour régler les conflits.

Il est toujours surprenant que les enfants se dirigent à l’école maternelle dans une Administration qui revendique haut et fort la devise républicaine d’égalité comme l’a souligné la Députée de Paris Sandrine Mazetier . On pourrait choisir de doubler l’adjectif en école maternelle et paternelle, mais pourquoi ne pas la rebaptiser “Jardin d’enfants ‘comme en Allemagne ? Une façon de rappeler que la petite enfance est un grand jardin d’apprentissage (ludus )en latin, mais certainement pas une école (skholê) comme Platon la définissait.

Assistante maternelle, sage femme, devront évoluer comme pour les puéricultrices qui se déclinent en Puériculteur.

Le Mariage pour tous aura certainement contribué à engager une grande réflexion linguistique pour redonner aux mots leur sens. Un mariage de raison dans l’histoire culturelle de certaines institutions qui devrait bénéficier de la réalité augmentée du mariage pour tous.

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Ski toujours ski d’un jour

 

Les vacances d’hiver entrent en scène. Une transhumance internationale qui fait converger les familles européennes vers le tapis de neige artificielle des Alpes. Sans oublier les autres massifs montagneux qui profitent de l’effet d’aubaine pour attirer chaque année de précieuses devises. L’or blanc comme le téléviseur ont pris une telle place dans l’imaginaire des familles qu’il est impensable de bouleverser les rythmes scolaires ou même d’envisager de penser l’écologie du système et son coût sur l’environnement sans s’attirer les foudres de ses partisans.

Il faudra compter la somme rondelette de3000 euros pour une famille, soit deux mois de revenus moyens. Un loisir qui se paye au prix fort sans aucune obligation de résultat pour ceux qui y engloutissent une bonne part de leurs économies. L’idéal recherché: de la poudreuse et du soleil étant rarement réuni sur 7 jours pleins. Au mieux peut-on espérer profiter pleinement des pistes 4 jours ! L’encombrement, les files d’attente interminables et les petits à côté hors de prix réduisent les espérances de bonheur carte postale. Les sports d’hiver restent un loisir de gens aisés. Ceux qui veulent s’y aventurer à petit prix devront se contenter de faire de la figuration pour que les stations ne paraissent pas désertes aux nantis de la glisse.

Cette fuite  vers des paradis artificiels touche aussi la Presse quotidienne qui lâche à cette occasion ses journalistes quelques jours au pied des pistes .C’est ainsi que ces derniers temps réapparaissent des sujets largement traités ces dernières semaines. L es rédactions se sont mis au blanc. Plus de quoi noircir du papier sous une avalanche de nouvelles .En attendant la fonte des neiges et le retour des Yétis .Surfons sur la vague des . Fr

 

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Lasagne Gate

 

La viande de cheval rebaptisée en bœuf pour des raisons économiques par une société française n’est pas une tromperie culinaire, mais économique .Gavius Apicius, créateur italien des « lasana » étageait son plat avec des tetons de truie ! L’évolution des goûts et l’aspect peu ragoûtant du plat, l’on fait évoluer vers des viandes plus nobles.

Aujourd’hui pour cuisiner des lasagnes, on se doit de mélanger un tiers de chair à saucisse issue du porc avec deux tiers de viande hachée venant du bœuf. Mais rien n’interdit de se fournir dans une boucherie chevaline pour y ajouter un steak haché de cheval .le scandale ne porte donc pas sur la viande de cheval, mais sur l’incapacité pour le consommateur de cuisiner ses propres mets.

Dans les années 1950, les robots ménagers étaient vendus avec l’accessoire pour hacher la viande, une garantie pour le consommateur qui n’existe plus depuis le développement de la cuisine d’assemblage. Aujourd’hui, on appelle lasagne, ce qui devrait porter le nom de pâté pour chien ! Comment espérer acheter pour quelques euros un plat qui outre de la viande doit être garni en tomates, épices et autres produits frais.

 On peut s’interroger sur l’appellation des plats cuisinés et sur leur présence dans les rayons d’alimentation humaine .ce type de plat devrait plutôt être vendu par les vétérinaires et ne plus avoir le droit d’usurper le nom de lasagne. Des appellations culinaires protégées à mettre en place par les pouvoirs publics et un retour du hachoir dans les cuisines à remettre au goût du jour limiteraient la spéculation boursière. Un bas morceau, peu apprécié du consommateur !

Igor Deperraz

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Publié le par igor deperraz

Droit à la paresse pour les enfants  ?

Et si le temps de l’enfance se déclinait aussi en droit à la Paresse ? Quelle idée si brutale que de vouloir à tout prix occuper les enfants après l’école ? Jugerait-on encore comme oisif celui qui ne produit rien que du rêve ? Au titre de ministre de l’Éducation nationale, il faudra bientôt y ajouter si la réforme des rythmes scolaires se concrétise, Ministre de l’Éducation nationale et de l’occupation du temps libre.

 Les pédagogues qui ne portent plus la barbe de peur d’être assimilé à de dangereux islamistes ont chaussé leurs plus belles lunettes Vintage pour ressortir de fumeuses théories Chrono biologiques. Ignorant en passant que l’Homme n’a cessé d’échapper à sa condition animale jusqu’à surveiller et punir tous ses comportements instinctifs. Le temps de l’enfance n’est pas le temps des ministres ou brillants universitaires, il est le temps de la découverte du monde par le jeu. Un bâton, une flaque d’eau, un nuage suffisent à occuper une après-midi, une semaine, une année. Si la durée de vie s’allonge, le temps de l’enfance se raccourcit.

Politiques, Parents, professeurs souhaiteraient que l’on sache lire, écrire, compter le plus tôt possible. Laissons le temps aux apprentissages de prendre leur place .L’école n’est pas une usine de production, mais une fabrique de rêves éveillés .si la journée d’école est devenue trop longue à l’école communale, c’est parce que les programmes sont devenus trop denses et les récréations trop courtes.

Si Vincent Peillon souhaitait alléger le temps de classe en gardant la semaine de quatre jours et demi, il lui suffisait d’allonger le temps moyen de récréation. Un temps plus important dédié à la paresse ne coûterait rien à personne et permettrait aux enfants de ne pas déflorer trop jeune ce temps qui passe déjà trop vite…  igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Photographie igor deperraz

 

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Publié le par igor deperraz

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                                                                                                                                  Photographies igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

C’est quoi le problème !

Vincent Peillon peut-il vraiment justifier son ébauche de réforme des rythmes scolaires devant ses partenaires européens ? Des voisins bien encombrants en temps de conflit social, mais qui obtiennent pourtant de meilleurs taux de réussite aux évaluations PISA. La Belgique par exemple travaille du lundi au vendredi en terminant ses cours à 15 heures, l’Allemagne débute ses cours à 8 heures et les terminent à 13 h 30, la Finlande commence à 8 heures et termine à 14 heures. Nos partenaires européens du Nord ont laissé aux enfants l’après-midi pour faire du sport ou de la musique. L’Allemagne propose 698 heures de classe contre 958 en France. Ce n’est donc pas le retour de la semaine de quatre jours et demi qui met le feu aux poudres dans les salles des Maîtres, mais bien les petits arrangements entre amis de la réforme des rythmes scolaires. La question que le ministre de l’Éducation nationale n’ose pas se poser est simple: pourquoi ne pas libérer les élèves l’après-midi à 14 heures ou 15 heures et pourquoi ne pas alléger drastiquement des programmes fourre-tout. L’État abuserait-il de la polyvalence des Maîtres du primaire. De l’enseignement des langues vivantes à l’histoire de l’Art, le tout dans un Packaging très universitaire, les Professeurs d’École sont censés aborder le champ des lumières avec quelques bougies pour les éclairer. Cette mission impossible croisée avec le sentiment diffus d’un déclassement social et professionnel par rapport aux professeurs du second degré amène ces surdiplômés à décrocher. Embaucher va devenir compliquer dans les années à venir si ce corps de métier donne toujours plus sans jamais recevoir .L’harmonisation européenne des diplômes est dorénavant effective, il ne reste plus qu’à harmoniser à l’échelon européen les rythmes scolaires. Cette harmonisation passerait de toute façon par une semaine de 5 jours continus avec des horaires de 8 heures 14 heures. On en est loin avec la réforme a minima de ce gouvernement traditionnellement à gauche ! Si le ministère de l’Éducation nationale a eu à sa tête des philosophes, cela pourrait expliquer pourquoi, ils n’ont jamais su faire preuve de psychologie.

Igor deperraz

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Publié le par igor deperraz

Faites la classe pas l’Amour

Le ministre de l’Education Nationale sait au fond de lui qu’il peut compter sur ses fidèles compagnons de route au sein des collectivités locales majoritairement socialistes et de ses anciens enseignants pour faire passer sa réforme. Trouvera-t-il le même soutien auprès des nouvelles générations de professeurs ?

 On peut en douter en lisant les forums qui appellent à la révolution ! Les « anciens » instits avaient baigné majoritairement dans l’idéal socialiste depuis leur plus tendre enfance. Ils étaient pour beaucoup fils et filles d’institutrices. Ces premiers de la classe sont aujourd’hui en première ligne dans le redressement de la misère sociale et souffrent de leur impuissance face aux inégalités croissantes qui gangrènent le tissu éducatif. Ils veulent donc bien croire en l’omniscience d’un des leurs, fut-il Professeur de philosophie.

 La révolte qui gronde au sein de l’école est représentative des conflits générationnels et géographiques qui émergent. Le code soleil qui guida pendant des dizaines d’années la conduite de ce corps fermé sur lui-même préconisait aux instituteurs et institutrices de faire l’amour le mardi soir pour ne pas affecter la vie de classe ! Si ce « code soleil » faisait encore aujourd’hui autorité, on soupçonnerait Vincent Peillon de prendre ses troupes pour des impuissants ou des religieuses républicaines.

Les syndicats que l’on dit corporatistes n’ont pas vu venir le rejet majoritaire du  bouleversement des conditions de travail sans autre contrepartie que la lecture des ouvrages de leur ministre. On pourrait même se demander s’il est souhaitable de croire en une Education Nationale tant l’accumulation de réforme et contre-réforme pousse au schisme les différents acteurs de la formation des enfants. Le prochain ouvrage de Vincent Peillon aura peut être pour titre « Faites la classe pas l’amour » un bon sujet de philosophie en perspective.

Igor Deperraz

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