Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Chroniques matinales

Chroniques matinales

Par deux points de vue passent une ...droite. Par un point de vue passe une gauche ou le contraire. Des chroniques et photographies publiées dans les journaux: "LE MONDE", "Le MONDE MAGAZINE" "LE MONDE TÉLÉVISION""LE NOUVEL OBSERVATEUR", "Le nouvel obs .fr","Les INROCK...", "LA TRIBUNE DE GENÈVE", "POLITIS",Action communiste .les informations dieppoises le réveil L'anticapitaliste, "La FRANCE "AGRICOLE",La Manche libre.fr "le Plus"."La VIGNE", "SINE mensuel "La Manche libre.fr" accréditation festival Albi, fête de l'Humanité. festival off Avignon. (plus de 1000 chroniques publiées) chroniques et flash info à Radio FMR Jusqu'à 2500 visites par jour....! événements ,photographies Igor Deperraz Normalien . études de cinéma à Paris-Sorbonne. jury Petits Molière Téléphone 0785473094

Publié le par igor deperraz

Pour convaincre de nouveaux lecteurs ou pour éviter leur fuite vers les sites Internet, la presse est tentée de se réorienter vers les sites participatifs. En donnant à tous et à toute la possibilité de s’exprimer librement, elle espère susciter le débat et l’interactivité des échanges. Cette voie, aussi intéressante soit-elle ne peut qu’aboutir à une impasse contreproductive.

 La presse papier n’est pas en voie de disparition,contrairement aux positions prises par certains journaux gratuits de se délocaliser sur Internet à l’horizon 2013,elle est tout au contraire en voie de consolidation ,de réflexion.

La possibilité d’amener un écrit, directement à portée de clic est une mauvaise posture et ne peut qu’éloigner un lecteur saturé d’information  .Le rôle premier du journal est de sélectionner, avec subjectivité et expérience un écrit pour qu’il entre dans la politique éditoriale . Un lecteur pressé de lire  vingt pour cent de la surface écrite doit rapidement trouver sa nourriture.

Le Rédacteur en chef de la rubrique  joue donc en lieu et place du lecteur le rôle d’écrémeur de l’information.. Le journal papier imposant ses choix éditoriaux et son format apporte  une lecture linéaire et non aléatoire comme sur un  site en ligne. Il donne un sens à l’écrit comme la toile de lin donne du sens au tableau du peintre. Que dirait un peintre si on publiait ses tableaux sur le net sans au préalable avoir exposé ses toiles ? .Les sites participatifs sont à réserver aux échanges ou à la discussion. Retrouver le lecteur, c’est repenser l’écriture journalistique pour l’adapter à des écrits inférieurs à 1800 caractères  et  enfin revoir la prédominance des écoles de journalisme pour diversifier les points de vue.

Igor deperraz

1803 caractères, un peu au dessus de la norme de lisibilité !!)

Voir les commentaires

Publié le par igor deperraz

Tennis équitable

 

Roland Garros et le Tennis mondial  suivront- t- ils le chemin du commerce équitable en jouant un Tennis… équitable. Un tennis du handicap ,comme au Golf ,pour un échange raisonné et des parties sans cesse renouvelées donnant à chaque joueur l’espoir de gagner une compétition.

En monopolisant par leur force mais aussi par un tennis sans partage les devants de la compétition certains joueurs ont enlevés le goût à la bouche de ce petit plaisir simple .Haleter devant son écran ou sur le cours pour soutenir ou croire au devenir d’un joueur. C’est en redonnant une chance à tous que l’on permet l’équité dans le déroulement des carrières professionnelles.

Dans le tennis actuel, la préparation, tant physique que mental oblige les clubs à élever en pépinière des dizaines de sportifs pour au final remercier ou faire patienter  les 9.

En mettant les moyens sur leur poulain et en concentrant ses efforts sur une poignée de joueurs vedettes les entraîneurs de haut niveau  pratiquent  une sélection contreproductive pour l’image ce sport. La compétition devient, à terme sans intérêt autre  que le plaisir pour le gagnant d’accumuler des points comme sur une carte de fidélité d’une grande enseigne.

En rétablissant un déséquilibre, par une dotation en points au départ les premiers classés ouvrent les portes de l’espoir à l’ensemble de la communauté sportive et aux jeunes. C’est le principe du billard qui donne, en théorie, la possibilité à un joueur moins bien classé, la possibilité d’échanger avec une tête de série.

Un Tennis équitable amènerait sur le cour d’autres valeurs que la notion actuelle de pouvoir absolu  sur la terre battue.

Igor Deperraz

Voir les commentaires

Publié le par igor deperraz

L’ombre des bordures

 

 

 

Le soleil surprend le printemps et brûle de ces rayons les champs .Sans ombre portée, les bêtes ont soif et cherchent  désespéramment l’arbre salvateur. Les arbres de nos talus ont subi les outrages de la coupe sans pensée aucune  pour les vaches au  pré. Les cabines de tracteur ne supportant plus tout ce qui dépasse, l’arasement des feuillus est devenu une des occupations de l’hiver. Les poêles à bois et les granulés avalants les bordures pour le chauffage des résidences secondaires.  Il ne reste que quelques troncs pour protéger les vaches, dépourvues de casquette à ventilateur. Celle que l’on trouve sur les cours de Roland Garos mais qui n’ont pas encore envahi notre campagne .Il faut donc se reposer la question du partage raisonnable entre la culture et la nature. A force de repousser les sillons toujours plus prêts de la route, à force de contrarier les  arbres des talus qui griffent les cabines. .Il devient  important d’interpeller les  fabricants de matériel agricole pour qu’ils  protégent les cabines des engins agricoles des éraflures des branchages .Il est peut être aussi temps de sacrifier quelques mètres carrés à la bonne santé du bétail en continuant le travail de nos ancêtres qui mélangeaient et entretenaient les espèces d’arbres aux bord des prairies. De l’ombre c’est une bête moins stressée.

Une qualité de viande et de lait qui au final rapporte plus que le sacrifice immédiat des arbres de bordures .Les ingénieurs qui construisent les machines agricoles prennent actuellement  en compte, les grandes terres agricoles du middle ouest  américain  et oublient  trop souvent la particularité de notre agriculture .Nous ne produisons pas des corn flakes mais du lait pour élaborer  les meilleurs fromages du Monde. De la viande au goût subtil et de la force à nos céréales qui  participent  au pain français reconnu sur tous les continents.  Les Deutz ou Someca   d’avant ne rechignaient pas à battre le fer avec les chênes verts des talus. C’est après l’ombre que la lumière refait surface.

 

Igor Deperraz

 

Voir les commentaires

Publié le par igor deperraz

Voyage au bout de l’Affaire

 

A tous ceux qui avaient encore l’illusion de croire que les salaires des hauts dirigeants d’entreprise ou de grands organismes internationaux  étaient le fait de leur compétence ou de leur emploi du temps chargé…

Toujours entre deux avions, des dizaines de portable sonnant à chaque seconde. L’homme ou la femme providentielle indispensable à l’Organisation .Tailler un crayon ou  étudier un dossier passait nécessairement  par le regard providentiel du Grand homme.

On imaginait des piles de dossiers discutés avec des collaborateurs posant les problèmes urgents  avec clarté. « Une réunion, ça se prépare ! » pouvait-on entendre ou « on ne vous paye pas pour vous la couler douce pendant le week-end ».Le lot quotidien des cadres qui explose la grille des salaires.

 Des moyens considérables mis à disposition de ces globes trotters, vidéo- conférence, liaison spécialisée .Toute la technologie mise au service de l’intérêt général. Désillusion froide…des piles de dossiers rangés à la hâte  dans les placards pour mieux se coucher sur le Teck d’un  bureau climatisé, des vidéo conférence d’un nouveau genre, des déplacement dans des hôtels de luxe pour passer le temps .A force de le  tuer, c’est le temps qui a pris sa revanche.

 Des Irresponsables internationaux  gavés par les dollars de l’indécence rattrapés par l’ennui et le mal être. Qui trop étreint….

 

 

 

Igor Deperraz

Voir les commentaires

Publié le par igor deperraz

Corpus de la violence scolaire

 

Ces petits mots qui font mouche dans les oreilles des professeurs. De la simple remarque pertinente à l’insulte la plus grossière . Un arsenal de la terreur ordinaire à  portée de bouche des opprimés du système scolaire. Un engagement et enragement  de la parole dans un combat douteux.

Déstabiliser l’adulte et l’emmener sur le terrain de la violence. Un rapport inégal qui met en présence de jeunes enfants prédateurs et des adultes qui n’ont pour  se défendre que des mots. Avec une Morale qui n’est, de toute façon plus partagée par des parents, trop content de se débarrasser de leur fonction d’autorité sur les nantis de la fonction publique.

Une utilisation subversive de la langue apprise de père en fille pour mieux polluer la sérénité des établissements scolaires. Avec un corpus de vocabulaire réduit aux acquêts, les termes juridiques sont les plus maîtrisés .Plainte, preuve, les rapports professeurs élèves tournent trop souvent à l’échange de l’ex garde à vue. La règle du silence s’impose au groupe, soucieux de ne pas, par effet boomerang, devenir la cible de ces parrains en herbe. Les mots se prolongent aux abords des établissements. On commence par  critiquer puis mépriser et enfin  discréditer  .Un long processus de violence familial concentrant sa haine sur tout ce qui représente l’autorité de la République. Dans ce jeu subtil, le sourire, l’effacement dupent  les représentants de l’autorité judiciaire .Donner de la voix ou tout simplement refuser l’indignité du mal amène à bien des tracas. C’est le professeur qui ne sait pas se faire écouter, n’a pas d’autorité ou plus simplement n’a pas mis en place les programmes d’aide proposée. L’élève n’est plus le porteur d’une bonne éducation familiale, il est le vecteur de l’inconscience collective à donner aux paroles déplacées d’élèves une excuse de minorité. Si la honte ne résonne plus aux oreilles des parents, il est vain d’attendre des actes et des paroles d’enfance. A trop écouter leurs enfants, sans demander une contrepartie morale, certains parents ont failli. Il convient aux responsables de la communauté éducative de mettre «  hors ce jeu », pour le bien de tous, les enfants déviants et d’apporter les réponses éducatives adéquates.

 

Igor deperraz

Voir les commentaires

Publié le par igor deperraz

De tout ce bruit médiatique sur l’agression supposée d’une femme de chambre ,la Presse diffuse avec  des détails relevant habituellement des journaux spécialisés des informations d’ un autre style que celle commentant habituellement  « le journal d’une femme de chambre » d'Octave Mirbeau  C’est donc un flux ininterrompu de pratiques sexuelles qui ouvre les petits déjeuners ensoleillés des familles françaises. Voudrait –on priver d’enfance la génération de l’après DSK en la soumettant à ces incessantes descriptions rapprochées. En n’épargnant  aucun détail sur la vie privée d’un homme livré à ses turpitudes et ses fantasmes et en laissant  les parents les plus habiles couper la radio ou mettre de coté les gros titres abandonnés sur la table de salon ,la situation est devenue tendue. Cette  effusion de semence gâche les oreilles de nos enfant, portés sur la romance Il n’y a plus de limite à la protection de la jeunesse .Des femmes sur papier glacée, dans des positions les plus viles, livrées en pâture dans les rayons Presse .Des publicités suggestives grossière sur les glaces, à faire pâlir France Gall. De cette banalisation du  tout dire, la presse ne peut se dédire, il lui appartient d’expliquer à ses lecteurs involontaires et immatures le sens de tous ses mots .Avec les phrases de l’enfance et de l’ignorance .De tous les sujets qui abondent dans un grand  quotidien d’information, aucun Rédacteur en chef n’a pensé à ce jour donner, offrir aux enfants, petits et grands, une page spéciale. Abandonnant naïvement  à la presse spécialisée et ciblée la charge de faire naître l’attention et le désir de lire un  quotidien. C’est un manque de considération des familles. . Inonder les journaux de faits et de notions pour adultes, quelque soit le domaine pousse bien souvent les enfants à poser la question du pourquoi et comment ça marche ? Alors .Pourquoi la radio, la télévision  n’aide pas les parents à expliquer l’information à leurs enfants .Il n’est pas toujours aisé de trouver les mots pour les siens .L’affaire DSK aura laissé pantois plus d’un parent  ….Comment ça marche !!!

Voir les commentaires

Publié le par igor deperraz

Sens de la Recette

 

La pâtisserie française est née dans l’abbaye de Saint Denis en 802 et ce n’est  qu’en 1440 que les pâtissiers eurent le privilège d’exclusivité dans la confection des délices que l’on connaît aujourd’hui. La ganache aux fraises est donc issue de cette longue tradition.  Si elle réjouit les palets  les plus subtils, son inventeur est le grand Maître S.G Sander. La recette est très simple 500 g de crème fleurette, 800 gr de peau de lait, 100 g de pulpe de fraises,  100g de sucre.

En respectant les proportions et le tour de main, cette pâtisserie unique reste  la propriété intellectuelle  de son inventeur.  Il  devrait, dans la tradition juridique française  toucher des royalties sur son invention et nul ne devrait l’exécuter sans l’autorisation des ayants droits du Maître. Une police des assiettes devrait, à l’occasion  s’assurer du respect du droit à la propriété intellectuelle. Cette ganache, subtile en bouche pose accessoirement   le problème du droit du propriétaire à faire respecter à la lettre sa  composition, .En résumé l’argent qu’il a investit pour mettre au point cette recette lui donne t- il le droit de contrôler les quantités exactes ainsi que les ingrédients à incorporer dans la préparation. Faut- il toujours mettre en rapport de force l’investissement et le fonctionnement ? Amener les moyens de satisfaire la mise en bouche impose-t-elle un droit de regard sur le produit final ?.Un débat savoureux qui ne touche pas toujours que les épicuriens de la crème fleurette

 

 

Igor Deperraz

Voir les commentaires

Publié le par igor deperraz

Adieu modestie, poussière…poussière

 

Les journaux écrits sont-ils amenés à muter vers les supports numériques et se passer de l’imprimerie et du support papier ? Une révolution que certains envisagent à l’horizon 2013.

L’écriture journalistique est-elle aussi  en train de muer vers d’autres formes  rédactionnelles ?

La Presse a pris la mesure de cette interactivité  en ouvrant ses colonnes aux lecteurs dans la rubrique « courrier des lecteurs ».

Mais qui est au juste ce lecteur qui se cache derrière la malle-poste de 8 heures ?

Un lecteur qui s’indigne de la faute inexcusable d’orthographe dans son  journal de référence ou la prise de position erronée, sans vérification des sources , rectifiée avec arrogance par le spécialiste Japonais des religions.

Un lecteur qui écrit un message, un texte qui ne trouve pas sa place dans le fil conducteur traditionnel de la presse écrite .Un  chroniqueur blogueur , sans chronique attitrée errant dans la presse parisienne au gré de la place et des coups de cœur des rédacteurs en charge de la rubrique. Un maçon temporaire construisant sur la toile sa demeure.

Le « Monde » se serait –il à ce point fermé sur lui-même pour ne pas s’ouvrir aux plumes extérieures.

Albert Londres ou le philosophe Alain, Henri Roorda, auraient- ils pu s’exprimer dans la presse d’aujourd’hui ?

Pour avoir fait le tour des  « unes » des courriers des lecteurs, mon premier jet allant au « Monde », ma famille d’adoption, infidèle, mes écrits orphelins ont su   trouver place dans les rubriques du Nouvel observateur, des inrockuptibles ,du  Monde magasine, de la France agricole et d’autres titres régionaux .L’ensemble de ce corpus diversifié et non spécialisé mettant l’accent sur la définition même du « billet » .

Je suis donc à la recherche de quelques colonnes disponibles dans cette bonne presse papier qui retrouvera sa jeunesse en s’ouvrant sur l’extérieur. Avant que la profession ne crée des écoles de journalisme ,les plumes provenaient de la société civile ,proche du lecteur ,les pieds avachis dans ses sabots et non droit dans ses bottes.

 

Igor Deperraz

Voir les commentaires

Publié le par igor deperraz

L’esprit d émoi

 

Dans cette guerre moderne qui oppose les Etats anglo–saxon à la France sur la manière d’être. L’opinion publique française répond par la manière de pensée. On juge un homme publique en France sur ses idées, ses grandes ou petites phrases et non sur son exemplarité. C’est Malherbe et Clément Marot qui  imposèrent à notre grammaire et donc à notre forme de penser des règles grammaticales complexes, avec l’idée de maintenir quelques complexités provenant du latin  pour donner au Français ses lettres de noblesse et l’éloigner du vulgaire. Les verbes pronominaux  ont ceci de particulier qu’ils doivent leur accord à un professeur d’italien enseignant le français. Une règle qui donna à Clément Marot l’occasion de mettre définitivement l’usage de notre langue à l’abri des imposteurs. Dans la phrase « Elle s’est senti attaquer par-derrière » on peut admettre la règle de non accord du participe passé par la présence de l’infinitif mais on peut aussi soumettre au lecteur »elle s’est sentie attaquée par-derrière .En choisissant aléatoirement de ne plus mettre un infinitif, la règle impose l’accord et la présence du « e ».Cette ambivalence de l’accord  donne aux participes passées pronominaux une force dans l’emploi de la langue écrite mais surtout une totale incertitude dans la bonne rédaction des textes et dans leur compréhension.

Nous sommes donc, de part notre langue, conditionnés à la faute .Inexcusable pour les lecteurs attentionnés .Insoupçonnés pour la majorité des autres La faute est notre linceul. .Le pragmatisme affiché de la langue anglaise ne retire rien à son extrême complexité, pour elle  ’une bonne règle est une règle appliquée. Ces règles qui ne cessent de pâtir d’exceptions donneraient-elles à la tournure d’esprit du français, la légèreté et l’accoutumance du mépris de ce que l’on impose aux faibles mais que l’on tolère aux puissants .Le bon francoys peut il se contenter de belles tournures de phrases pour convaincre de la toute puissance du verbe …en toutes circonstances…

 

 

Igor deperraz

Voir les commentaires

Publié le par igor deperraz

French touch

 

 

Y  a t-il une « french touch » dans la relation hommes –femmes ? Doit -on pour suivre les aléas de l’actualité et les vicissitudes des uns ou des autres pour  remettre en question notre mode relationnel latin. Pourquoi aller rechercher les paradoxes des conduites  extrêmes pour construire une Morale de la relation privée et publique à vocation universelle. Les Etats-Unis ayant perdu le leader ship économique voudraient ils nous imposer une universalité des comportement ?  Heureusement, nous pouvons encore regarder des hommes ou des femmes en toute quiétude, les toucher et les regarder sans tomber sous le joug d’une loi punitive .Entre adultes la séduction n’a rien à voir avec le sexe. La vie n’a de couleur et d’incandeur que dans l’usage partagé de codes acceptés et partagés .Combien de visages et de sourires  aident à supporter les difficultés de la vie  Le tempérament latin suppose l’insistance des hommes et l’ignorance feinte des femmes .Du Fellini à l’infini. Chacun connaissant les limites et la portée symbolique de ce jeu. Le transgresser par une attitude outrancière met définitivement son acteur hors jeu .Le schéma Nord américain de la relation sociale hommes femmes est très inspiré par les mouvements religieux en totale contradiction pourtant  avec les textes fondateurs de leur mouvement .Dans la bible « lévitique 19-20 «  Lorsqu’un homme aura des rapports sexuels avec une femme ,si c’est une esclave fiancée à un autre et qui n’a pas été rachetée ou à qui l’affranchissement n’a pas été accordé,ils seront pénalisés ,mais non punis de mort ,parce qu’elle n’a pas été affranchie L’homme amènera pour sa culpabilité à l’Eternel (….)un bélier en sacrifice de culpabilité(…)et le pêché qu’il a commis lui sera pardonné ».

Dans un pays ou la justice se rend avec la Bible comme référent, les textes fondateurs sont intéressants à mettre en perspective…..

 

 

 

Igor Deperraz

Voir les commentaires

1 2 3 4 > >>

Articles récents

Hébergé par Overblog